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12/12/2011

SOIREE ALEXANDRE VIALATTE le 12 JANVIER 2012 à la SCAM

SOIREE ALEXANDRE VIALATTE

JEUDI 12 JANVIER 2012 à 20 HEURES à la SCAM

5 avenue Vélasquez 75008 Paris

(Métro Villiers ou Monceau)

Cocktail, Réservation indispensable au 01 56 69 58 16 ou à culture@scam.fr


Jean-Xavier de Lestrade (président de la Scam)

Pascal Ory (président de la commission de l’écrit)

Jean-Pierre Caillard (président directeur général du groupe Centre France –

La Montagne)

sont heureux de convier les amis de Vialatte à une soirée littéraire autour d’Alexandre Vialatte

Traducteur, journaliste, chroniqueur, romancier ? Vialatte fut, surtout, Vialatte. Sa mort l’a grandi. Il n’a jamais été aussi lu. À la Scam, nous allons clore en beauté l’Année Vialatte : en textes et en images. Ce soir on lui donnera la parole, ainsi qu’à quelques uns de ses meilleurs amis : ses lecteurs. Pascal Ory

Présentée par Pascal Ory, une soirée en présence de Pierre Jourde, Daniel Martin, Philippe Meyer.

Textes lus par Hélène Babu.

Extraits de films :

L’Invité du dimanche - Alexandre Vialatte en Auvergne

1969, Réal. Guy Seligmann, Ina (ORTF)

Un Siècle d’écrivains – Alexandre Vialatte

1997, Réal. Bernard Jannin, Lili Productions

12/06/2011

EXPOSITION VIALATTE-KAEPPELIN, Un bestiaire complice

Ne manquez sous aucun prétexte la belle exposition qu'accueille le Musée Labenche, à Brive la Gaillarde, jusqu'au 31 décembre 2011.
Elle est ouverte de 10 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h, tous les jours sauf le mardi et le 25 décembre.
Pour vous inciter à vous y rendre, voici une vidéo réalisée par Studiomio au coeur même de l'exposition.


Enfin, nous comptons réaliser en 2012 un beau livre des ces oeuvres (et d'autres qui n'ont pu trouver place au Musée Labenche). Ecrivez moi (jerome.trollet@gmail.com) pour que je vous avertisse de sa parution.
BONNE VISITE ! et BONNES FÊTES.

10/13/2011

RECUEIL "VIALATTE A LA MONTAGNE" chez JULLIARD le 20 OCTOBRE


Nouveau temps fort de 2011 - Année Vialatte, la parution de Vialatte à La Montagne, chez Julliard, le 20 octobre.


Ce recueil comprendra les 13 chroniques republiées dans le journal cette année et une brassée d’autres parrainées par des Vialattiens de renom : Laurence Cossé, Amélie Nothomb, Pierre Jourde, Baptiste Liger, Philippe Meyer, Bertrand de Saint-Vincent, François Taillandier, Denis Tillinac, Philippe Vandel, etc.


Préface de Jean-Pierre Caillard, PdG du Groupe Centrefrance/La Montagne.

L’ouvrage sera présenté à la Foire du livre de Brive, qui fêtera son trentième anniversaire, sous la présidence d’Antoine Gallimard.

Voir la présentation du livre sur le site de l'année Vialatte : www.alexandre-vialatte.com



9/30/2011

DECES DE L'ECRIVAIN AUVERGNAT JEAN PIERRE LECLERC









Rendez-vous sur le nouveau site à la mémoire de Jean-Pierre LECLERC : JEAN-PIERRE LECLERC /


Nous apprenons avec tristesse le décès de Jean Pierre Leclerc à l'âge de 62 ans, mercredi 24 août, au terme d’une lutte contre un cancer. Il a eu le temps de terminer son prochain roman qui sera publié aux Presses de la cité en octobre 2011 et qui s'intitule Une vie retrouvée. Jean Pierre était marié à Carole Marquand. Très attaché à son Auvergne il revenait régulièrement dans son pays ; fier d'être Auvergnat il revendiquait ses origines et défendait l'Auvergne en toutes circonstances.

Sa devise « Partir de rien pour aller nulle part, mais entre temps faire beaucoup de chemin ».

Jean Pierre LECLERC, est né le 3 juin 1949 en Auvergne, à Clermont Ferrand, il passe son enfance dans les cités Michelin, où il apprend vite le sens des valeurs. Durant ses études au lycée Godefroy de Bouillon, il découvre la littérature grâce à son cousin Robert Leclerc journaliste et comédien, ami de Fernand Raynaud qu’il rencontrera d’ailleurs. Robert Leclerc lui conseille de lire beaucoup pour comprendre comment est construit un roman. Jean Pierre Leclerc est aussi attiré par la comédie, à 16 ans, il intègre le théâtre universitaire de Clermont-Ferrand aussi connu sous le nom du théâtre des chiens jaunes où il restera 7 ans et découvrira les tournées en France et à l’étranger. Jean Pierre Leclerc décide ensuite de tenter sa chance à Paris où il arrive à l’âge de 24 ans.

Son ami, l’écrivain Georges Conchon, prix Goncourt avec l’Etat sauvage, le met en relation avec le monde du cinéma. Jean Jacques Annaud le retient pour jouer dans le film « Coup de tête » avec Patrick Dewaere. Jean Pierre Leclerc joue ensuite dans la pièce « la mère de Gorki » avec la troupe de théâtre russe de La Taganka, l’équivalent de la comédie Française, qui est en tournée en France. La mise en scène est assurée par le grand Youri Lioubimov, directeur du théâtre et dissident à l’époque. Il enchaîne ensuite avec des téléfilms. Il écrit aussi des chroniques intitulées « les 3 coups du théâtre » dans le journal l’Auvergnat de Paris, où il fait des portraits d’acteurs. Au début des années 80, Jean Pierre Leclerc fait une belle rencontre avec le poète et parolier Bernard Dimey, qui débouche sur l’adaptation par Jean Pierre Leclerc, d’une de ses œuvres, « Poèmes Voyous » qu’il joue dans un café théâtre de la rue Lepic. Il joue ensuite dans 6 épisodes des enquêtes du commissaire Maigret, et devient ami avec Jean Richard. Jean Pierre Leclerc accède ensuite à la notoriété avec le rôle de Jeannou dans la saga « Châteauvallon » qui est regardé par 14 millions de téléspectateurs. Malheureusement, la 2éme saison ne pourra pas être enregistrée, l’actrice Chantal Nobel qui interprète le 1er rôle, est victime d’un accident de voiture, elle restera paralysée à vie. Châteauvallon s’arrête là.

Jean Pierre Leclerc poursuit sa carrière de comédien dans la troupe des Tréteaux de France, où il donne la réplique à Jean Davy, acteur de la comédie Française et à Marc François, autre grand comédien, dans la pièce « Lorenzaccio » d’Alfred de Musset où il interprète le fils Strozzi, cette pièce connait un grand succès. On le retrouve ensuite dans le téléfilm « Tiroir secret » de Nadine Trintignant où il donne la réplique à Michèle Morgan. Jean Pierre Leclerc écrit également des pièces de théâtre comme « Miss lulu » qu’il joue avec François Vior, un descendant de Toulouse Lautrec. Depuis ses débuts, Jean Pierre Leclerc a joué dans une dizaine de films, une quarantaine de téléfilms, et autant de pièces de théâtres. Dans les années 90, la littérature prend le pas sur le métier de comédien, son 1er livre est publié en 1993, « L’Auvergne des douze » un très beau livre qui rend hommage aux écrivains Auvergnats comme Blaise Pascal, Jules Vallès ou Alexandre Vialatte.

En 1996, est publié, « Contes et Recettes des Pays d’Auvergne et d’Aveyron », un livre écrit par Jean Pierre Leclerc et Francis Paneck. L’année suivante, il publie « D’un hiver à l’autre ». Avec ce 1er roman, Jean Pierre Leclerc obtient le prix Lucien Gachon, qui récompense le meilleur roman du terroir. L’écrivain, Robert Sabatier écrit à propos de ce livre « Sur un ton direct, sans emphase, toujours dans l’action. Jean Pierre Leclerc, fait vivre ses personnages. On s’y croirait ! Un roman qui sent bon le feu de bois et l’air des montagnes » Il participe également, à un livre de nouvelles, intitulé « Aux vents d’Auvergne » écrit par plusieurs écrivains auvergnats.

La carrière d’écrivain de Jean Pierre Leclerc est lancée, les romans s’enchaînent, comme « les brûlures de l’été », « noce d’argile », puis « les Années de Pierre ». Viennent ensuite les livres « La Rouge Batelière » qui retrace la vie des bateaux appelés sapinières qui transportaient, de l’Auvergne à Paris, le bois et le charbon, ce livre raconte aussi la vie des Auvergnats à Paris. Il publie ensuite « l’Eau et les jours », et « les Sentinelles du printemps » qui évoquent la vie d’une famille de paysans auvergnats de 1919 à la fin de la 2éme guerre mondiale, qui fait face à la désertification des villages, la collaboration, et la résistance. Ce sera ensuite, « Un amour naguère », « Julien ou l’impossible rêve », « A l’heure de la 1ére étoile ». Un conte pour enfant « Le cavalier qui passe », et en 2009, « Les héritiers de Font Alagé ». En 2010, il publie « De longues fiançailles ».

Parallèlement à l’écriture, Jean Pierre Leclerc continue de tourner dans des films et téléfilms, on le retrouve dans « La nouvelle tribu » de Roger Vadim (1996), dans « Victoire ou la douleur des femmes » de Nadine Trintignant (2000), dans une des nouvelles de Maupassant, « Miss Harriet » de Jacques Rouffiau (2007), dans « Cadeau de rupture » de Vincent Trintignant (2008), et dans les 2 derniers films d’Alain Corneau, « le 2ème souffle », et « Crime d’amour » sorti en salle en 2010.

A propos de l’écriture, Jean Pierre Leclerc confiait « Ecrire et lire une histoire, est un acte intime, un livre c’est un miroir qui te renvoi ce que tu es déjà ».

Amoureux des chevaux, Jean Pierre Leclerc aimait l’authenticité, l’indépendance et la liberté, tous ses livres reflètent sa personnalité. Il venait souvent se ressourcer dans son pays d’Auvergne. Malheureusement le 24 août 2011, Jean Pierre Leclerc quitte ce monde à l’âge de 62 ans, après avoir lutté pendant une année contre ce que l’on appelle une longue maladie. Sa rage de vivre n’a pas suffit, mais il a eu le temps de terminer ce qui sera son 20ème et dernier roman « Une vie retrouvée » publié le 6 octobre 2011, aux éditions des Presses de la Cité.

(Merci à Christian Robert pour cet article. Voir aussi son blog http://histoiredauvergnat.over-blog.com/)

7/12/2011

CORRESPONDANCE ALEXANDRE – HELENE VIALATTE 1928 – 1962 UN FOYER EPISTOLAIRE









L’association des amis d’Alexandre Vialatte vient d’éditer, avec l’aide du CRDP de Clermont-Ferrand, l’intégralité de la correspondance d’Alexandre et Hélène Vialatte. Ce sont plus de 2400 lettres réunies en 2 volumes (format A4, broché, 4 pages d’illustrations), soit plus de 1000 pages au total, que nous sommes heureux de vous présenter, au terme d’un travail de transcription considérable réalisé par Inès Vissouze-de Haven. Un index vient compléter l’ensemble.

Nous proposons ces deux volumes aux membres de l’Association, ainsi qu’aux bibliothèques, centres documentaires et de recherche, pour 100 euros, sous format papier ou sous format numérique (par envoi de fichier en format .pdf)

Adresser votre commande à : Association des amis d’Alexandre Vialatte 11, rue d’Assas 75006 PARIS accompagné d’un chèque à l’ordre de l’association. Pour commander la version numérique, indiquer votre adresse de messagerie pour l’envoi.


Pendant quarante ans, j’ai conservé soigneusement cette correspondance entre mes parents avec l’inquiétude, très auvergnate, de ne rien laisser perdre. D’une part il me semblait, la notoriété posthume de mon père s’accroissant, que la publicité de ces documents contribuerait à une meilleure connaissance de sa vie et de son œuvre. D’autre part, je voulais faire connaître, en écho, l’écriture si vivante de ma mère, sa fraîcheur, sa poésie spontanée des « choses vues ».

Sans doute n’ont-il jamais pensé que leurs lettres pourraient un jour être publiées. Mais, en me les léguant sans les détruire, ils ne me l’interdisaient pas. Les voilà.

Pierre Vialatte


Une correspondance passionnée, passionnante...

Tout en découvrant avec une certaine émotion, feuillet après feuillet, les lettres manuscrites d'Alex et d'Hélène, et tout en progressant dans ma découverte, je me suis attachée à cet homme et à cette femme que j'ai déchiffrés mot à mot. Chacun d'eux m'a surprise, amusée et choquée. J'ai éprouvé pour eux, tour à tour, des sentiments divers, allant du rire au rejet, de la franche antipathie à l'acceptation, à l'admiration et à l'affection. Malgré leurs défauts ou leurs torts, ils n'ont jamais démérité de mon estime car ils sont vrais, enfants terribles d'une époque aussi folle et aussi belle que dramatique.

Inès Vissouze - de Haven


7/08/2011

PHILIPPE KAEPPELIN, UN HOMME MAGNIFIQUE (1918 – 2011)


Philippe Kaeppelin ne s’est pas réveillé jeudi matin. Retiré au Puy dans un hôtel du XVIIème siècle qu'il avait entièrement restauré, Philippe vivait depuis quelques années au pied de cette cathédrale dont il a été longtemps le conservateur et qui abrite sa fameuse vierge noire. C’est au Puy qu’il nait il y a 93 ans ; il fera ses études aux Beaux-Arts de Paris avant de rencontrer Henri Charlier qui lui enseignera la taille de la pierre dans l'église de La Bourboule et qui sera son maître en matière d’art sacré. Philippe se lie d'amitié avec Henri Pourrat, et rencontre Alexandre Vialatte en 1945 au Q.G du Général de Lattre de Tassigny à Constance. Après la guerre, Philippe Kaeppelin se marie et le couple s'installe à Vanves dans une maison où il disposera d’un grand atelier. Taillant et sculptant aussi bien la pierre que les métaux, il confectionne de nombreux autels, des Christs, des tabernacles, des croix. Il a signé des œuvres en Auvergne bien sûr (Notre-Dame du Port, Cathédrale de Clermont-Ferrand, le Puy, etc.) mais aussi dans de nombreuses régions de France, en Alsace, en Champagne (à Reims en particulier), en Limousin (Collégiale du Dorat) etc. Sans oublier sa vocation pour l'art sacré, Philippe Kaeppelin est aussi peintre et graveur. En complicité avec Vialatte, il dessine et réalise un bestiaire, travaillant pour cela différents métaux. Ses animaux fantastiques - principalement des oiseaux extraordinaires - ont été exposés dans plusieurs grandes villes. Une prochaine exposition sera consacrée à son Bestiaire au Musée Labenche à Brive en Novembre et Décembre prochains.

Vialatte écrivait dans la Montagne : « Kaeppelin est un grand artiste. Il est du Puy. Il a des dents de loup. Il dit qu’il en a plus que les autres. Ce n’est pas vrai, mais il les a plus grandes. Parce qu’il vit de marbre et d’ébène ; il est sculpteur ; et il doit mordre ses statues comme ces artistes de Montparnasse qui découpent des rosaces, aux terrasses des cafés, dans un journal, en mangeant ce qui dépasse. Car il fait feu quand il attaque la pierre. Il travaille des mains, des pieds, et il arrache comme des biftecks, au moyen de ses dents luisantes, les morceaux les plus résistants. Ses cheveux sont noirs et hérissés, ses yeux flamboient, on dirait le loup du Gévaudan. Quand il passe sur le Breuil, il fait peur aux petites filles... L’osseux, le hérissé le passionnent, les moustaches en aigrette. Il réussit aussi très bien le monstre mou… C’est un poète »

Philippe Kaeppelin aura fasciné tous ceux qui l’auront connu par son élégance et la lumière et la joie qui brulaient dans ses yeux. Il vous prenait par la main pour vous accompagner dans toutes les facettes de son art ; il vous présentait ses œuvres comme un père parle de ses enfants avec autant de tendresse que d’humour, avec joie et simplicité. C’est un homme extraordinaire et un artiste magnifique qui vient de disparaître.

6/30/2011

Vladimir DIMITRIJEVIC (28 mars 1934-28 juin 2011)


Vladimir Dimitrijevic, fondateur et directeur des éditions L’Age d’Homme, est décédé le 28 juin 2011 à l’âge de 77 ans (accident de voiture sur le trajet Lausanne-Paris).

Grand « passeur », Dimitri était un des derniers grands éditeurs, à la fois grand lecteur et découvreur passionné, dans tous les domaines. Vladimir Dimitrijevic avait conçu le catalogue (4500 titres disponibles) comme une mosaïque colorée et diverse, ainsi qu’il aimait à le dire. Editeur entre autres de Cingria, Gripari, Witkiewicz, Vassili Grossman, Alexandre Zinoviev, Vladimir Volkoff, Pierre Marie Gallois, Georges Haldas, Eugenio Corti, Caraco, Milos Tsernianski, Dobritsa Cosic… Son histoire se confond avec celle de la littérature mondiale.

La devise de la maison : « Une ouverture sur le monde ». L’enracinement de ce passeur de livres et d’idées était l’orthodoxie, et son pays, la Serbie.

Né en 1934 à Skopje (Yougoslavie), fils d’un horloger qui sera persécuté par le régime deTito et sera plusieurs fois emprisonné. Passionné de littérature et de football, Dimitri quitte clandestinement la Yougoslavie en 1954 : il a 20 ans. Il arrive en Suisse et devient libraire chez Payot – les clients se souviennent encore de ce jeune libraire. Il fonde en 1966 la maison d’édition L’Age d’Homme, accomplissant ainsi son rêve de jeunesse. Le premier livre événement de la maison est Petersbourg d’Andrei Biely. Le roman inaugure la prestigieuse collection des « Classiques slaves » dirigée par Jacques Catteau, Vladimir Dimitrijevic, Georges Nivat et Gérard Conio. Dominique de Roux avait donné ce manuscrit à Dimitri pour l’aider à lancer L’Age d’Homme.

Editeur fêté et reconnu dans les années 70-80 pour la découverte des grands écrivains dissidents, Dimitri souhaite être un éditeur indépendant. Et il l’était ! Sa loyauté envers son pays d’origine (la Serbie) lui vaut de nombreuses inimitiés dans les années 90. Mais la maison continue de se développer avec les collections : Archipel slave, Le Révizor, Classiques slaves, Dossier H, Ecrits sur le cinéma, Grands spirituels orthodoxes du XXe siècle, Petite Belgique, Poche Suisse, Slavica, Théâtre XXe siècle… Et les revues : Communisme, La Lumière du Thabor, Mélusine, Politica Hermetica, Revue des Etudes italiennes…

La Fondation L’Age d’Homme continuera la mise en valeur et le développement des éditions L’Age d’Homme.

L'Age d'Homme a publié un magnifique Cahier H consacré à Alexandre Vialatte.

Pour en savoir plus, Dimitri avait fait des entretiens avec Jean-Louis Kuffer sous le titre

Personne déplacée (1ère édition Favre ; 2ème éd. Poche Suisse). En préparation, d’autres entretiens avec Gérard Conio et Lydwine Helly sous le titre Béni soit l’exil (automne 2011). La maison d’édition fête ses 45 ans le samedi 26 novembre 2011 à la Mairie du Vie arrondissement (place Saint-Sulpice).